Que te devoir de trop
Qui ne soit ni tort ni tournoi
Et qui te distingue par son éclat
Sans dégager sa propre nuit de foi
Qu'introduire au moment des gestes
Dans le fond qui les décompose
Sans prendre peur et ralentir au flanc
Le tronc charnu séduisant sa dose
Que finir de déniveler
Dans les airs enflés des nuances
Sans révéler ce qui les casse
Et faire fondre le sang gelé qui les sépare
Que disperser dans ton écran
Pour recalculer tes structures
Que décortiquer par l'exemple
Sans imiter l'ongle d'un tic
Et se nuire à trembler de joie?